


Auberge Notre Dame de La Gorge : ouverture Juillet 2025
Ouverture du Centre Culturel de La Gorge Nouveau Centre Culturel de la Gorge, situé aux portes de la réserve naturelle et au pied de l’église de Notre Dame de la Gorge, ouvre ses portes début juillet 2025, offrant un cadre unique et inspirant, pour des événements culturels et sociaux, dans l’espace du Pays d’Art et d’Histoire, dernière étape du « Sentier du Baroque » et des « Petites Boucles du Baroque ». Sur le passage du tour du Mont Blanc, ce lieu magique vous transportera à travers des concerts, des expositions, des ateliers, des conférences, des spectacles et bien plus encore. Ses thématiques variées, passionnantes et riches en émotions, en font un lieu de ressourcement, de partage et de connaissances. Le Centre pourra également être privatisé pour des événements familiaux, amicaux ou professionnels. Toute la programmation est sur le site www.centrecultureldelagorge.com Pour allier la culture et le plaisir convivial de la gastronomie, le restaurant « la vieille auberge », au rez-de-chaussée, est également ouvert dès cet été avec une cuisine française traditionnelle et une possibilité de 50 couverts, ouvert midi et soir.



Sommaire :



Le bulletin N° 102 été 2023 sera envoyé fin juin aux adhérents ; voici le sommaire du bulletin n° 101 (hiver 22-23)

Notre bulletin paraît semestriellement.
Le bulletin N° 101 hiver 2022-23 sera envoyé courant décembre aux adhérents ; voici le sommaire du bulletin n° 100 (été 22)

Si pour les Parisiens, l’axe historique part de la Cour carrée du Louvre pour aller jusqu’à la Défense via les Champs-Elysées, pour les Contaminards, l’axe historique part du Lay sur la route de la Gorge, rejoint le hameau de l’Étape puis le Signal avant de gagner, après une courte descente dans le creux du Nant Rouge, le col du Joly.
L’inauguration du nouveau télésiège de l’Olympique a été une nouvelle occasion de mettre en valeur et de renforcer cet axe stratégique mais les skieurs qui l’empruntent ignorent peut-être qu’ils s’inscrivent dans une longue histoire et dans une évolution constante, depuis l’époque héroïque où l’axe historique des Contamines se parcourait en trois étapes, un premier télésiège où les passagers se plaçaient latéralement avec les skis à la main puis un téléski à enrouleurs et enfin un télésiège une place.
A l’époque, bien que maintenant archaïque, la construction de ce télésiège avait représenté une avancée considérable dans la longue marche qui a fait sortir le ski hors du cœur du village des Contamines où se trouvent les téléskis fondateurs du Nivorin et des Loyers, pour gravir les pentes situées entre les aiguilles de Croche et de Roselette
Ce nouveau télésiège permettait d’accéder au relief mamelonné d’un secteur offrant de nombreuses possibilités de ski hors-pistes à une époque où le damage était encore artisanal. Il donnait accès également à la magnifique Combe de Nant-Borrant sous l’aiguille de Roselette qui sera équipée par la suite. Enfin, avec une altitude de 2107 mètres, point le plus élevé du domaine skiable, il permettait un gain d’altitude dans un « creux à neige », un versant nord garantissant du bon ski du début à la fin de la saison, même les années difficiles.
L’historique et emblématique télésiège monoplace de Roselette avait été remplacé en 1985 par un trois places Pomagalski équipé d’une pince fixe, le must de l’époque. Pour les Contaminards, c’était le télésiège à Miton, sympathique sobriquet donné à Marcel Calamar, le conducteur de l’appareil et personnage haut en couleur.